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MA PRÉSENCE D’AFFAIRES SUR LE WEB

1 octobre 2010 | Facebook, Gestion stratégique, LinkedIn, Twitter, Web Marketing | 0 Commentaires

Une entreprise sans site Web est l’équivalent d’une personne sans identité. Le Web est une énorme encyclopédie de l’information. Il est aussi devenu une vitrine pour faire la promotion de votre entreprise et plus dernièrement un lieu de contact avec la clientèle par la participation aux différents réseaux sociaux.

D’abord une vitrine

Un bon site Web met en lumière les raisons d’un client de vous choisir à la place de vos concurrents. L’Internet est plein de possibilités commerciales, particulièrement pour les services qui ne sont pas disponibles en mode hors connexion. Si votre site est bien construit et présente une bonne ergonomie, votre entreprise sera affichée lors de l’utilisation des moteurs de recherche comme Google. Beaucoup de consommateurs font une recherche initiale sur le Web avant de prendre une décision d’achat. Il est important qu’ils soient en mesure de vous trouver sur le Web avec un minimum d’efforts et d’y voir votre offre de service avec un maximum de confort.

Les principales règles ergonomiques sont : Le poids, c’est-à-dire le temps de chargement, un affichage rapide, le plus rapide possible car la majorité des internautes ne patientent pas plus de 15 secondes lors du chargement d’une page. 32% des internautes quitent les sites trop lents en moins de 5 secondes et n’y reviennent pas. Les grands utilisateurs ne demeurent pas plus de 3 à 4 secondes. Google a jugé bon de prendre en compte le temps de chargement des sites Web dans le classement des résultats. A contenu similaire, c’est le site qui sera le plus rapide à se charger qui sortira en premier. De plus, comme tous les utilisateurs n’ont pas la même résolution d’écran, votre site doit avoir une résolution de base qui n’amène pas l’utilisateur à se servir de la barre de défilement verticale et/ou horizontale. Une résolution de base de 1024X768 pixels qui était utilisée par 60% des internautes en 2004 fait place à de nouveaux standards. On constate un véritable boom des écrans dont le ratio largeur sur hauteur est de 16/10 au détriment des écrans classiques 4/3. Les résolutions 1440X900 et 1680X1050 sont en forte croissance répondant à la nouvelle taille d’écran sur le marché. Il ne faut perdre de vue que les internautes naviguent dans des conditions variées.

Pour la navigation, bien que la « règle des 3 clics », ait été largement utilisée, elle stipulait que toute information doit être accessible en moins de 3 clics, les nouvelles considérations de développement des sites doivent prendre en considération l’auditoire. Par exemple, un site eCommerce mettre l’emphase sur le tunel d’achat et une vitrine commerciale sur les images. Un site simple, épuré renforce la crédibilité de l’entreprise et il est important de savoir que l’organisation de l’information est importante Le visiteur a une tendance naturelle à prendre connaissance des informations contenues sur une page en suivant le parcours d’un «F» majuscule.

Les informations de base qui doivent être présentes sur la page d’accueil sont : Le nom et le logo de l’entreprise, Le slogan qui représente l’activité de l’entreprise, les services ou produits vendus et un hyperlien facilement identifiable vers les coordonnées des contacts de l’entreprise. Certes d’autres éléments d’ergonomie sont importants, le format des caractères, la couleur, les titres, les sous-titres, les légendes d’images, mais elles sont secondaires au contenu. Il est de plus en plus recommandé de ne pas installer de gadgets, d’animation flash, de compteurs. Ils n’amènent rien au contenu que le visiteur vient chercher.

Les mesures d’optimisation d’un site Web feront l’objet d’un prochain billet. Comment Google peut-il vous trouver avant les autres? Tout le monde sur le Web le veut…

Ensuite les réseaux sociaux

Avec l’avènement des réseaux sociaux et ses caractéristiques d’échange d’information portant sur un bouche-à-oreille virtuel, certaines entreprises ont compris l’importance de ce mode de communication et ont vu une opportunité d’affaires avec les millions de participants de Facebook, Twitter et aussi dans un autre ordre, business to business, (B2B) de LinkedIn. Ils y voient, au-delà d’un outil de promotion, des lieux de veille pour le secteur dans lequel ils opèrent, des lieux d’échange direct avec les consommateurs et dans certains cas, des occasions d’affaires. Le phénomène va plus loin qu’une mode, et va certainement durer. Il ne faut pas y voir nécessairement un filon d’or qui rendra riche instantanément, mais souvent, c’est une occasion de partager de l’information, de garder le contact et de fidéliser sa clientèle à long terme.

Parmi les objectifs poursuivis de la participation aux réseaux sociaux, on peut s’inscrire pour une plus grande visibilité en ligne, un meilleur positionnement dans les moteurs de recherche, parce que Google référence les statuts de Facebook et les twitts de Twitter, pour une amélioration des communications externes, pour une interaction directe avec les clients ou encore les internautes, clients potentiels en devenir et enfin, certains recherchent une amélioration de leur notoriété de marque. Il va s’en dire que tous recherchent une augmentation des ventes tant pour le court que le long terme. Il en va des fondements des entreprises de générer des profits. Utiliser les réseaux sociaux peut s’avérer intéressant. Toutefois, pour en retirer le maximum, il faut que ce soit collé à des objectifs d’affaires, donc faire partie d’une stratégie d’entreprise, et certains préparatifs sont importants.

Avant même de s’inscrire, il faut décrire qui on est, l’entreprise, et définir notre offre de services et la clientèle visée, sous l’angle d’un «elevator pitch». C’est le genre de court entretien, qui ne doit prendre que le temps qu’une descente d’ascenseur, qui consiste à bien présenter son idée, son produit, son service ou son entreprise de façon à influencer positivement la décision de son interlocuteur en notre faveur.

Comme deuxième élément de présence, le choix du réseau est important. Je j’ai déjà indiqué dans mon billet : http://www.gestionove.org/2010/08/facebook-twitter-linkedin d’août 2010, les objectifs ne sont pas les mêmes : Facebook est d’abord un réseau personnel, Twitter est un site de micro-blogging axé sur la veille et l’instantanéité, et LinkedIn est un site de réseautage professionnel. Vous devez y voir certains avantages pour l’entreprise parce que la participation a un coût personnel ou financier si vous confiez cette opération a une tierce personne.

Pour vous assurer une participation significative sur les réseaux sociaux, il faut porter une attention particulière à votre profil. Il est important de créer des profils qui tiennent la route : photos, identification claire, résumé concis et mise en avant des intérêts et objectifs pour que les personnes vous connaissent mieux ou aient envie de vous connaître. Il faut aussi penser à insérer son URL Twitter, Facebook ou Linkedin dans sa signature d’emails ou des documents officiels de son entreprise. L’élément fondamental est de suivre régulièrement les activités et de réagir dans les espaces prévus à cet effet. Le partage de contenu frais et percutant vous attirera aussi des visiteurs sur votre site Web. En ce sens, l’information sur les nouveautés est beaucoup appréciée.

Après avoir invité vos contacts à devenir vos amis, il faut être constant. Il faut être engagé, intéressé et motivé. Il faut avoir envie de se brancher tous les jours. Il n’y a rien de plus décevant que d’interagir avec un ami et ne pas avoir de retour dans un délai raisonnable.

La présence

D’après Kotler, un grand penseur du marketing, : “Le marketing est l’analyse, l’organisation, la planification et le contrôle des activités et des ressources d’une entreprise qui ont une influence directe sur le client, en vue de satisfaire les désirs et les besoins de groupe de clients sélectionnés, de façon rentable”.

Cela suppose de bien connaître et comprendre l’évolution de la demande et la situation qu’elle caractérise sur le marché des produits ou services.  En plus des 4P traditionnels : Prix, Produit, Place et Promotion, la Présence, particulièrement via le Web, devient essentielle.

Comment voyez-vous votre présence d’affaires sur le Web? Faites-moi vos commentaires…

Temps de chargement de site Web

http://www.selfseo.com/website_speed_test.php

http://developer.yahoo.com/yslow/

Concevoir son site Internet : le design et l’ergonomie

http://www.rankspirit.com/design-site-web.php

http://www.commentcamarche.net/contents/web/ergonomie.php3

Elevator Pitch

http://www.guilhembertholet.com/blog/2008/09/18/lelevator-pitch-en-10-points/

AffairesWeb

http://www.lesaffairesweb.com/2010/02/01/reseaux-sociaux-et-strategie-internet-un-pensez-y-bien/

JE PARTAGE MES FAVORIS

24 septembre 2010 | Outils technologiques | 0 Commentaires

Le partage de favoris en anglais « social bookmarking » est une façon pour les internautes de stocker, de classer, de chercher et de partager leurs liens favoris (signets). Les utilisateurs enregistrent des listes de sites Web qu’ils trouvent utiles. Ces listes sont accessibles aux utilisateurs d’un réseau ayant les mêmes centres d’intérêt. Ils peuvent être consultés par sujet, (alimentation et vins, livres, vidéos, commerce en ligne, ou de façon aléatoire. Ainsi, au lieu d’ajouter des sites à vos favoris sur votre propre ordinateur, vous les enregistrez sur un site accessible à tous, où chacun pourra les consulter. Vous avez aussi la possibilité de ne pas rendre un favori public. L’un des avantages de conserver ses favoris sur un site de partage de favoris, c’est qu’on peut y accéder depuis n’importe quel ordinateur connecté à Internet, par exemple depuis un cybercafé, son téléphone mobile, une bibliothèque. Ainsi, si vous tombez sur un article ou une page que vous trouvez intéressants et que vous voulez conserver pour les consulter plus tard ou pour les partager avec d’autres personnes, il vous suffit de cliquer sur l’un des liens souvent présents en bas de la page pour les ajouter à votre liste de favoris ou encore de les inscrire sur votre liste personnelle dans votre site de partage préféré.

Vous devez vous inscrire lors de votre première visite sur ces sites. Par la suite, ils se «rappellent» automatiquement de vous grâce à des cookies Les sites de partage de favoris les plus connus dans le monde anglophone sont par exemple del.icio.us, Digg, diigo. Les francophones ont à leur disposition, entre autres, bookmarks.fr.

Créé en 2003 par Joshua Schachter, racheté en 2005 par Yahoo!, del.icio.us l’un des sites les plus utilisé. Il est toutefois en anglais seulement mais son interface est facile d’utilisation. Le nom de domaine de del.icio.us n’est pas du tout dû au hasard puisqu’il s’agit en fait d’un jeu de mots. Il faut lire : delicious (délicieux en anglais). A la publication vous pouvez ajouter un marqueur è l’intention d’une autre personne de votre groupe. Si vous utilisez cette option, del.icio.us indique automatiquement à votre vis-à-vis que vous voulez attirer son attention sur cette page. Lorsqu’il ouvrira sa page del.icio.us, il verra que vous lui avez signalé un lien. Avec del.icio.us, on peut installer des boutons dans le navigateur pour rendre la sauvegarde des pages plus facile.

Développé comme expérience à partir de novembre 2004, le site a été lancé en décembre 2005. Digg est un site Internet communautaire qui a pour but de faire voter les utilisateurs pour une page web intéressante et proposée par un utilisateur. Typique du phénomène « Web 2.0 », il combine social bookmarking, blog et syndication (suivi des flux). Il dispose de plusieurs catégories, telles : Technologie, Sciences, Monde et Affaires, Sports, Divertissement et Jeux. Les nouveaux articles et les sites web soumis par les utilisateurs sont notés par d’autres utilisateurs. Si une proposition remporte le succès nécessaire, elle est affichée sur la page d’accueil.

 Créé en 2006, diigo illustre peut être l’évolution du partage de favoris. Ce site offre des fonctionnalités supplémentaires, il propose d’effectuer en parallèle la sauvegarde de nos favoris sur notre compte del.icio.us, mais il permet surtout de surligner et de sauvegarder différentes parties de la page web et de les conserver dans son bookmark diigo. L’outil permet même de récupérer un article que vous jugez intéressant et d’y mettre une note pour lecture plus tard. Après la lecture, il est possible de la classer ou encore de l’enlever de vos favoris.

 Créé en 2005 par Seth Godin, ce service se situe entre réseau social et «social bookmarking». Toute personne ayant une passion ou un intérêt particulier pour un sujet est invitée à déposer ses sites favoris sur une page (nommée lense) afin de les rendre accessible à tous. Une forme de rétribution est prévue si vos favoris sont pertinents et appréciés par les visiteurs

 Bookmarks.fr. Le site est simple. Il s’agit d’un site de partage de Favoris internet mais dans la langue de Molière. Ici on ne vote pas comme sur Digg , on partage c’est tout.

Le social bookmarking permet aussi de faire des découvertes intéressantes. Vous pouvez savoir quels usagers ont enregistré le même lien que vous. De là, vous pouvez consulter leur liste de favoris et découvrir d’autres ressources intéressantes. Ça permet le développement de réseaux passifs : vous partagez avec des gens que vous ne connaissez pas qui peuvent être n’importe où dans le monde. Pour quelqu’un qui utilise régulièrement le Web et qui veut organiser, décrire et partager ses trouvailles, le partage de favoris est très intéressant.

Mes favoris partagés

http://www.delicious.com/jean_claude.plourde

Et vous, y voyez-vous un intérêt?

Références :

 Le blog de Domonique,bibl.prof.

http://dominiquep.wordpress.com/2007/01/26/outils-de-partage-de-favoris-social-bookmarking/

Wikipédia l’encyclopédie libre

http://fr.wikipedia.org/wiki/Social_bookmarking

LES PREMIERS PAS SUR TWITTER

14 septembre 2010 | Twitter | 0 Commentaires

L’ouverture de compte

Pour vous inscrire à un compte Twitter, vous devez inscrire votre nom et prénom puis choisissez un nom d’utilisateur (pseudonyme) court, le plus court possible afin de protéger la limite des 140 caractères de vos tweets, et si l’on vous cite,protéger la consommation des caractères par la personne qui vous cite. Ce pseudonyme ne peut pas être changé par la suite; choisissez-en un qui ne vous couvrira pas de ridicule dans 10 ans. Lors de votre inscription, vous pouvez déjà vous inscrire, selon vos intérêts, comme «following» auprès de membres suggérés par les gestionnaires de l’application : Actualités, humour, musique, techno ou encore entreprises. Il vous est aussi possible de rechercher des amis à partir de certaines listes de courriel ou encore du réseau social LinkedIn. Vous allez recevoir une note de votre inscription dans votre boîte courriel que vous avez identifiéà votre inscription, vous demandant une confirmation de votre inscription. Ceci complète l’étape de l’inscription.

Dans un deuxième temps, vous devrez paramétrer votre compte : Précisez votre fuseau horaire: GMT -5.00 Eastern time,Canada USA. Twitter fonctionne tout le temps dans le monde entier. Vous donnerez des indications à vos followers sur vos disponibilités.

Dans profil, rajoutez votre « site Internet »: ce peut être l’adresse de votre site, mais aussi votre blog, si vous en avez un ou encore votre profil social de LinkdeIn ou Facebook. Vous avez intérêt à compléter votre bio en vous décrivant en 160 caractères: c’est important car les twittos font souvent des recherches avant de s’inscrire comme «follower». Saisissez votre localisation: ville, province ou pays; évitez la géolocalisation car elle peut vous apporter des désagréments lors de vos activités personnelles si vous utilisez Twitter sur mobile. Ne protégez pas vos tweets sinon, n’utilisez pas Twitter. C’est une règle de base. Ajoutez votre propre avatar immédiatement, si possible, une image de vous, dans la limite de 700ko. Il est suggéré de ne pas le modifier, parce qu’il peut causer des dérangements aux followers en cas de changement.

Les règles d’usage du débutant

Suivez vos amis, contactez les pour leur demander qui vous aurez intérêt à suivre. Vous pouvez aussi utiliser une application en temps réel des liens Twitter : http://apps.asterisq.com/mentionmap. Vous avez accès à la liste des followers que vous suivez et en vous déplaçant sur ce membre, vous verrez les personnes qui le suivent. Vous pouvez en ayant accès à leur profil, vous inscrire à leur tweets. Vous y retrouverez facilement quelques dizaines de comptes en relation avec vos centres d’intérêts. Vos premiers tweets doivent venir de votre expertise, afin de l’asseoir dès le début. Vous pouvez également poser une question dès que vous aurez quelques followers, mais n’en attendez pas forcément une réponse. Il faudra donner beaucoup, avant de recevoir un peu. La page d’accueil où s’affichent les tweets de ceux que vous suivez s’appelle la «timeline». N’hésitez pas à répondre aux questions qui apparaissent dans votre timeline en cliquant sur le lien “Répondre” qui apparaît à droite du tweet et non pas le lien “Retweeter”. Si un tweet vous parait pertinent, et correspond à l’image que vous souhaitez véhiculer, vous pouvez cliquer sur le lien “Retweet” et il apparaitra alors dans la timeline de vos followers, exactement comme vous le voyez. Si vous voyez passer un Retweet, cliquez sur le @pseudonyme, et suivez-le s’il vous paraît pertinent. Dans Twitter, une attention particulière a été apportée aux adresses de sites ou pages internet. (url uniform ressource locator). Elles sont parfois longues et vous n’avez que 140 caractères pour votre tweet. Utilisez des raccourcisseurs qui feront l’affaire. Inscrivez-vous sur bit.ly. Une nouvelle fonctionnalité de Twitter est aussi disponible depuis peu.

Parmi les règles d’utilisation de Twitter, il y a l’utilisation des hashtags. Ce sont des mots clés, commençant par “#”; ils donnent un sens au tweet, sans qu’il soit nécessaire d’utiliser trop de ces précieux 140 caractères, et permettent de suivre les tweets sur le même sujet. Ne mettez pas de caratères accentués dans les hashtags, et n’hésitez pas à souligner chaque mot par une majuscule, pour plus de lisibilité. Les deux hashtags les plus connus globalement: #FF ou #FollowFriday qui permet de citer les @pseudonyme que vous conseillez à vos followers. Comme son nom l’indique, il n’est utilisé que le vendredi. Le second le plus utilisé est #MM #MusicMonday qui vous permet de partager vos coups de coeur musicaux préférés du week-end. Vous verrez qu’il existe également plein d’autres hashtags en fonction du contexte.

Twitter permet aussi l’envoi de messages directs, ou DM. Pour cela, il faut que votre destinataire soit votre following. On accède à cette fonctionnalité en cliquant sur le lien “Messages privés” dans la colonne de droite. Il peut arriver que vos followers vous demandent une information en DM. Répondez leur par ce biais. De même, n’encombrez pas votre timeline d’échanges personnels, sauf s’ils sont très pertinents pour vos followers. Les DM sont là pour ça. Twitter met en avant les informations les plus citées dans l’instant présent, au travers de sa section «À la une»: en cliquant sur l’un des liens, vous serez informé en temps réel d’un évènement qui se passe quelque part sur la planète. Il est possible de n’afficher que les tendances propres à son pays, ou à sa ville, selon les disponibilités. Si vous souhaitez qu’un tweet soit commenté, laissez un peu de place, caractères; il ne sera re-tweeté (RT) facilement que si votre follower à de la place pour y glisser votre @pseudonyme. Enrichissez vos tweets: ajoutez systématiquement des urls courtes dirigées vers un contenu riche ou vers des images pertinentes.

Twitter est un outil collaboratif et social qui repose sur quelques règles de société : Soyez actifs, inter-agissez, répondez, prenez la parole. Ne pas crier : la lettre majuscule est perçue comme le fait de crier sur le Web. Ne pas insulter ou du moins essayer de ne pas insulter, passer en privé pour dire des choses que tout le monde n’a pas besoin de savoir et envoyer un message privé, Enfin partir du principe que tout le monde n’a pas d’obligation de me répondre. Si des followers font des RT sur vos tweets, faites un tweet de remerciement collectif, en les inscrivant dans le même tweet. Quand vous avez un nouveau follower, il existe une règle de bienséance pour lui souhaitez la bienvenue.

Bien sûr, vous pouvez me suivre sur Twitter : @plojea01 vous êtes les bienvenus. Et n’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions : http://www.gestionove,ca

Documents de référence

Kriisiis.Fr Social média blog

http://www.kriisiis.fr/index.php/10-principes-que-les-debutants-sur-twitter-doivent-comprendre/

http://www.kriisiis.fr/index.php/le-guide-du-debutant-sur-twitter-en-100-etapes-conseils-et-outils/

Conseils marketing.fr

http://www.conseilsmarketing.fr/ebook-gratuit-%E2%80%9Cle-mini-guide-pro-pour-twitter%E2%80%9D-par-conseilsmarketingfr

Thoma Daneau

http://www.mieuxconnaitre.com/twitter/cest-quoi-twitter-et-comment-ca-marche-prise-2-un-peu-plus-de-realisme

Patrick Barrabé

http://sites.google.com/site/onlinetutos/home/twitter/guide-du-debutant

CONSEILS SUR VOS PARAMÈTRES FACEBOOK

9 septembre 2010 | Identité numérique, Outils technologiques | 0 Commentaires

 

Avec l’arrivée de certains nouveaux amis virtuels, j’ai constaté que plusieurs amis rendaient disponibles à l’ensemble de l’Internet, certaines informations sensibles à un vol d’identité numérique. Je vais vous entretenir dans ce billet des paramètres de confidentialité qui vont vous aider à protéger votre identité numérique sur votre page personnelle FACEBOOK. Depuis avril 2010 les dirigeants du réseau social ont modifié leur politique de confidentialité et les nouvelles règles imputent aux membres participants la responsabilité de configurer leurs paramètres de confidentialité.

À l’ouverture de compte, certaines informations vous ont été demandées lors de l’ouverture de votre compte  : votre Nom, Prénom, Courriel, Mot de passe, Sexe et la Date de naissance. Ces informations étaient obligatoires pour la création de votre compte. Mais certains éléments de configuration vous permettent de protéger ces données.

Lors de votre connexion sur votre page Facebook, vous arrivez sur votre mur (Babillard) et en haut à gauche, sous votre photo (Avatar) vous avez les éléments de votre compte : Messages, Événements, Photos et section importante, les Amis. À la base, il est important de réfléchir aux personnes que vous autorisez à devenir vos amis. Dès que vous acceptez une personne comme ami, elle peut accéder à vos informations personnelles. Pour la sécurité de votre identité numérique, il s’agit de montrer avec restriction une version partielle de votre profil et la façon de faire consiste à créer les listes d’amis : Personnel, professionnel, connaissances, collègue de travail, famille et autres que vous jugerez utiles.

Pour créer des listes adaptées à votre situation, il faut aller en haut à gauche dans l’onglet «Amis»: Il y a d’abord le téléchargement de vos amis actuels et à partir de ce groupe vous pouvez les classer selon vos préférences de regroupement. Vous pouvez aussi utiliser l’outil de recherche ou encore répondre à certaines suggestions des gestionnaires de Facebook pour compléter vos listes d’amis. C’est la première étape.

Par la suite vous aurez accès dans la section profil, en haut à gauche au coté de votre avatar, aux composantes de votre identité numérique. Ce sont : Informations générales, Photo, Relations, Goûts et intérêts, Coordonnées. En sélectionnant afficher mon profil, vous pourrez voir ce que vos amis peuvent consulter sur votre identité. Vous êtes invités à inscrire les informations demandées. Et il y a de nombreuses informations sensibles que vous déciderez de rendre disponible ou cacher à vos amis de Facebook. N’oubliez surtout pas d’indiquer que vous ne voulez pas que votre date de naissance soit affichée à tout le monde sur votre profil. À réserver pour un groupe restreint de préférence.

Ensuite, sur la ligne en haut à l’extrême droite, vous abordez le cœur de l’opération, la définition des paramètres. Ouvrir la rubrique Paramètres de confidentialité et vous avez deux sections : Informations de base et Partage sur Facebook.

Dans la section Informations de base, les trois éléments du haut, ne peuvent être personnalisés que pour certains groupes, vous devez choisir si vous les rendez accessibles à tout le monde, les amis de mes amis ou mes amis seulement. Les quatre éléments suivants peuvent être personnalisés à vos différents groupes. Dans chacun des cas, vous devez cliquer sur l’encadré pour voir les choix qui vous sont donnés. Après vos choix, vous pouvez voir l’aperçu de votre profil.

Vous devez retourner dans les paramètres de confidentialité pour compléter la section deux, Partage sur Facebook. Vous avez le tableau actuel de partage et pour le modifier, vous devez en bas, à la fin du tableau, ouvrir l’onglet «Personnaliser vos paramètres» Les trois sections s’intitulent : «Choses que je partage», «Choses que les autres partagent», «mes coordonnées». Dans la section «les choses que les autres partagent», je vous conseille de ne pas permettre aux autres personnes, même vos amis actuels de placer des «post» (commentaires) sur votre babillard. N’oubliez pas de décocher la case pour laquelle mes amis peuvent écrire sur mon babillard.

Pour la section des Coordonnées, ce sont des informations sensibles qui ne méritent pas une large diffusion. Je vous recommande d’en limiter l’accès à vous seulement. Vous minimiserez ainsi la sollicitation inconvenante. Vous pourrez par la suite, visualiser votre profil

Dans l’ensemble, je vous recommande de ne permettre l’accès qu’à votre liste d’amis personnels pour les éléments : Photos et vidéos dans lesquelles je suis identifié, et commenter mes publications.

Pour votre visibilité vous pouvez aussi vérifier quelles seront les informations qui seront relevées par le moteur de recherche sur Facebook en ouvrant la section applications et site web et en demandant de modifier les paramètres. Vous aurez accès à la dernière ligne du tableau à la recherche publique. En l’ouvrant vous pourrez y voir l’aperçu si vous cliquez sur le lien.

Réfléchissez à la manière dont vous voulez utiliser Facebook. Si c’est seulement pour rester en contact avec les amis personnel, il est préférable de restreindre l’information à ce seul groupe. 20% des utilisateurs rendent leurs photos accessibles à tout le monde et donne accès à des intimités sur leur vie sociale et privée qui peuvent poser d’importants désagréments actuels et futurs.

Salutations et bon succès!

Références :

Guide de gestion de la réputation en ligne

http://www.scribd.com/doc/33860830/Guide-de-gestion-de-la-reputation-en-ligne

Bien utiliser Facebook

http://www.geekeries.com/2010/04/22/bien-utiliser-facebook-n%C2%B01-regler-ses-parametres-de-confidentialite/

Je protège mon identité sur Internet

http://monidentite.isiq.ca/documents/guide_facebook2009.pdf

YOUTUBE ET LES AUTRES RÉSEAUX DE PARTAGE DU WEB 2.0

2 septembre 2010 | Outils technologiques, Slideshare, Web Marketing, YouTube | 0 Commentaires

Avec les réseaux sociaux les plus connus, que sont Facebook, 500 millions d’adhérents à ce jour, Twitter, 105 millions en avril 2010 et des adhésions de 300000 utilisateurs par jour, LinkedIn, qui présente des chiffres de 70 millions d’utilisateurs dans 200 pays et augmente d’une nouvelle inscription à chaque seconde, YouTube constitue l’outil de partage le plus connu. Facebook est un réseau social destiné à rassembler des personnes proches ou inconnues, Twitter est un réseau de micro blogging, tandis que LinkedIn est un service en ligne qui permet de construire et d’agréger son réseau professionnel. YouTube entre dans la zone de partage un peu plus particulière de l’image

YouTube est la plus grosse plateforme vidéo du web ; rachetée par Google fin 2006 elle a remplacé Google Vidéo. YouTube est un service gratuit de partage de vidéos en ligne permettant à tout le monde de visionner et de partager des vidéos envoyées par les membres. YouTube permet aux gens de télécharger facilement et de partager des clips vidéo sur www.YouTube.com et sur des sites Web de l’Internet, des appareils mobiles, dans les blogs ou encore dans des courriels.

Le site a été créé en février 2005 par trois anciens employés de PayPal en Californie. Il emploie la technique Adobe Flash pour afficher toutes sortes de vidéos. En octobre 2006, Google a annoncé son acquisition pour 1,65 milliard $us. Il est après Facebook et Google le troisième site le plus visité au monde selon Alexa. Son interface est déclinée pour 23 pays en 28 langues. Environ 24 heures de vidéos sont uploadées par les internautes chaque minute qui passe.  La plupart des vidéos du site peuvent être visualisées par tous les internautes, tandis que seules les personnes inscrites peuvent envoyer des vidéos de façon illimitée. Les concurrents sont Dailymotion (France) , Myvideo (Allemagne). La vidéo “Lady Gaga – Bad Romance” a été vue plus de 212 millions de fois par les utilisateurs du site. Une autre vidéo qui conquis une large audience de 90 millions de spectateurs ; “Susan Boyle – Britain’s so Talented”. YouTube n’en finit pas de grossir, en attendant d’être rentable pour Google

Flickr est un site web gratuit de partage de photos et de vidéos, avec certaines fonctionnalités payantes tant pour des photos personnelles que pour des photographes professionnels. D’abord un projet de création de deux personnes de Vancouver, la création du site remonte en 2004 sous la paternité de Yahoo une société de services sur Internet, opérant notamment un portail Web. En novembre 2009, le site hébergerait plus de 4 milliards de photos et accueillerait plus de 54 millions de visiteurs uniques par an. Les comptes gratuits permettent d’entreposer et de partager 200 photos par mois et un compte professionnel coute environ 25,00 $ par an pour un usage illimité. L’interface de Flickr permet de gérer ses photos de manière rapide et interactive: il est ainsi possible de saisir les mots-clés, titre et descriptif de chaque image et de voir la page finale mise à jour immédiatement, sans avoir besoin de recharger quoi que ce soit.

Slideshare a été développé pour l’hébergement et le partage de présentations PowerPoint ou encore de documents de la suite Office, (OpenOffice, Microsoft Office) ainsi que d’autres types de fichiers. Vous uploadez votre fichier et celui-ci est ensuite accessible sur le site en quelques clics. L’application transforme les fichiers et permet de les lire dans un lecteur flash qui vous permet de naviguer très facilement entre les pages (slides) de votre fichier. Slideshare est également une vraie mine d’or puisque vous accédez à tous les fichiers uploadés sur le site par les autres membres du site. On y trouve notamment des présentations des grandes sociétés qui mettent leurs documents suite à des conférences ou encore des individus qui veulent partager leurs connaissances. L’intérêt étant que vous pouvez télécharger chaque document au format pdf suite à une inscription obligatoire. La taille maximale d’un fichier supporté est 100 Mo.

Tout le côté interaction est bien développé. Vous pouvez partager toutes vos trouvailles sur les réseaux sociaux les plus connus mais aussi poursuivre votre recherche via des mots-clés ou encore via une liste de documents jugés similaires par le site.

Scribd est un site communautaire proposant à ses utilisateurs de partager des documents texte. Le site est ainsi comparable à YouTube, à ceci près que le type de contenu véhiculé est différent. Il peut s’agir de recettes de cuisine, des recueils de blagues ou encore de conseils pratiques. Plusieurs sortes de documents peuvent y être partagées, comme le doc, pdf, txt, ppt, xls, ps ou lit. Une fois les fichiers partagés, ils peuvent être visionnés par n’importe quel visiteur. Un élément intéressant de cette formule d’utilisateur du iPapier est une fonction eCommerce qui s’est développée, le Scribd Store, afin de permettre aux vendeurs de livres d’augmenter leurs réseaux de distribution.

Digg est un site Internet communautaire qui a pour but de faire noter et voter les utilisateurs sur une page web intéressante et proposée par un utilisateur. Typique du phénomène « Web 2.0 ». Il dispose de plusieurs catégories, telles: Technologie, Sciences, Monde et Affaires, Sports, Divertissement et Jeux, qui sont divisées en sous catégories. Les nouveaux articles et les sites Web soumis par les utilisateurs sont notés par d’autres utilisateurs. Si une proposition remporte le succès nécessaire, elle est affichée sur la page d’accueil. Les lecteurs peuvent voir tous les articles soumis par d’autres utilisateurs dans la section digg/News/Upcoming du site. Dès qu’un article reçoit assez de votes, il apparaît sur le page principale de Digg. À l’inverse, si l’article ne reçoit pas assez de votes ou si différents utilisateurs reportent un problème avec celui-ci, il est placé dans la catégorie Digg all, d’où il est susceptible d’être supprimé.

Netlog est un site belge de réseautage social destiné à rencontrer des personnes, un peu le même style que Facebook. Il rassemblerait plus de 69 millions de membres à travers le monde et est disponible en 27 langues. Netlog utilise une technologie de localisation qui lui permet de cibler géographiquement et de personnaliser son contenu en fonction du profil de chaque membre. Ceci donne aux membres des facilités de recherche des autres membres dont le profil correspond à leur classe d’âge et à leur région.

Je n’ai pas abordé le BLOG qui est une partie maitresse du Web 2.0. Il sera l’objet d’un prochain billet.

Les avez-vous visité ? Quelles sont vos impressions ?

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